La vie s’échine à danser dans le chaos. L’ordre établi ruisselle sous le feu de la rampe. La chute est proche, incertaine et volubile.
J’entends le fracas, déjà, du monde. Il est tombé du haut de sa cathédrale en ruine.
Un tourbillon interne, vortex vorace, nous entraîne inexorablement vers son centre. Un œil inconnu, rempli de possible, nous regarde et nous aspire. Nous sommes si petits, encore, tapis dans l’ombre d’une lumière éclaboussante. Qui s’en sortira?
Personne.
Nous y sommes, « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ».
Les mondes inversés comme des miroirs, éclatent dans un fracas à peine audible. Il n’y a ni sommet, ni base dans un cercle.
Nous devons apprendre à nager au dessus de la cité.

(papier fort, 50×50 cm, techniques mixtes)
Une étonnante abstraction de l’humanité et même de toute trace de fécondité,
Parvenu à Les-Cent-Ciels ?
A l’Ab-Solu…?
Texte et illustration en parlent…..
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Alors qu’à y regarder de près, on y distingue la vie, le Féminin et l’archétype du Fin’Amor, étonnant qu’avec que troublant,
Encore une très belle oeuvre contemporaine,
& Amour,
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